AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Partagez

Je me nomme Brown. Amy Brown.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
MessageAuteur
MessageSujet: Je me nomme Brown. Amy Brown. Je me nomme Brown. Amy Brown.  EmptySam 12 Oct - 16:29
Ceci est un message qui se passera dans le mois de Janvier/ Février. Comme je ne peut pas rp avec quelqu'un pour l'écrire, je posterai en solo *v*. Il n'est absolument pas fictif, il fait partie de l'histoire d' Amy. N'ayez crainte, je connais presque par cœur le déroulement des événements qui régirons maintenant sa vie. Ce message n'est donc pas la par hasard, mais vous en comprendrez la teneur en temps voulu xDD à écouter avec cette musique ♥♥♥

Alice aimait à rester dans ce parc à jeux. Personne ne traînait ici une fois l'heure du goutté passé. Et le dragon rouge était tellement plus beau quand les enfants n'étaient pas la pour le martyriser. Cela valait vraiment le coup de se faire disputer par sa mère pour n'être pas revenue à temps à la maison. Entouré de chênes, la petite fille sentait le vent danser dans ses cheveux, pousser quelques peu les jouets pour enfants. Oui, elle aimait tellement ce calme. Ici, elle pouvait oublier son quotidien devenu gris. Les disputes incessantes de son père et de sa mère, son absence de bonnes notes à l'école ou les brimades de ses camarades de classe. Ici, elle pouvait souffler.

Elle rêvait, comme toute les petites filles de son age, d'une vie d'aventure. Elle aurait tellement aimée être une princesse à secourir. Un explorateur dans la jungle colombienne. Ou même une créature magique en voit d'extinction. Mais ce n'était que des chimères, Alice savait pertinemment que sa place était ici. Loin de cette vie qu'elle aimait tant imaginer.

À la maison, ça ne parlait que d'argent. Ses parents avaient des difficultés financières, et dieu sait qu'ils en parlaient à toutes les sauces. Ils se criaient même parfois dessus parce que sa mère explosait le plafond de sa carte bleu. C'était un environnement invivable. Alice aurait tellement aimée être comme toutes les autres, à avoir la dernière poupée, la dernière toupie. À parler du dernier film sortit au cinéma. Elle aurait pu le demander à ses parents, comme toutes les autres. Faire des caprices. Supplier. Mais ce n'était pas bien. Elle ne pouvait pas plus être une gène. Alice n'osait pas demander. N'osait pas s'imposer. À force de se faire marcher sur les pieds, elle n'arrivait pas à s'intégrer. Ce complexe, car à force, s'en était devenu un, la rongeait de l' intérieur. Il l’empêchait d'aller vers les autres. Et bientôt, elle fut la risée de tous. Du haut de ses treize ans, Alice se sentait bien seule. Et ne pouvait, malgrès ses efforts, changer de situation.

Alors elle aimait être ici. La ou personne d'autre ne venait. Enfin, en théorie, car aujourd'hui, une femme s'approcha de la balançoire ou elle était assise. Elle semblait foncer droit sur elle, d'une démarche lente et assurée. Les mains croisées sur sa poitrine, jetant des regards à droite et à gauche, savourant le paysage. Mais elle ne trompait personne. Le parc et ses alentours étaient dessers. Ici, il n'y avait qu'une seule personne susceptible de l' intéresser. Un court instant, Alice se demanda si elle devait appeler de l'aide. Si elle devait s'enfuir. Une petite voix dans sa tête tira la sonnette d'alarme. Mais elle fut bien vite chassée par sa conscience, qui lui intima de revenir à l'instant présent. Car la femme était la.

En fait, elle ne semblait pas si vielle. Sa carrure n'était certainement pas celle d'une matrone, plutôt celle d'une adolescente. Ses habits étaient une preuve de plus, jean délavé, pull criard, la capuche rabattue sur un visage pour le moment inconnue. Ses mains étaient maintenant enfoncées dans ses poches, et son regard bifurquait vers le bas. L'inconnue était mince. Beaucoup trop pour être en pleine santé. Cela la rajeunissait certainement, ils le disaient dans les livres. Au premier abord, cela ne se voyait pas, ses habits larges camouflaient ses formes osseuses. Mais le vent soufflait dans sa direction, aussi, le surplus était tiré vers l'arrière. Sa maigreur était livrée au regard de tous. Alice se dit alors inconsciemment qu'elle ne risquait rien. Contre un tel adversaire, elle avait toutes les chances de gagner. Mine de rien, cela la rassura un peu.

Bonjour Alice.

Une voix quelque peu éraillée. Comme si elle n'avait pas parlée depuis un long moment. Cette constatation étonna Alice, qui regarda à l'endroit de la capuche. Cherchant à discerner un visage dans cette broussaille de cheveux.

Qui êtes vous ? Comment connaissez vous mon nom ?

L' adolescente porta la main à sa capuche, et la tira vers l'arrière. Puis elle se retourna précipitamment. Alice l'entendit souffler plusieurs fois. De cette façon qu'on les gens pour se donner du courage.

Je m'appelle Amy et je …

Elle pesait ses mots, les prononçant lentement. Seconde par seconde, l'inconnue se tournait vers elle, lui dévoilant son mystérieux visage. Alice en eu le souffle coupé. Celui ci n'était pas normal, absolument anormal. On aurait presque pu dire qu'un géant le lui avait plié de milles et unes façons. Dans le genre papier qu'on jette à la poubelle. Comme les méchants dans les films, défigurés par le héros de l'histoire. Il était pale, presque autant que le vampire de la saga twilight. Son regard lui, loin d'être rouge ou orange, était marron. Mais l’expression qu'il proclamait était bien pire que celle de ces vampire bons marchés. C'était un regard dénué de toute pitié, de toute gentillesse. C'était le regard qu'ont les prédateurs avant de sauter sur leurs proies. De son étrange visage, c'était certainement le pire. De par son regard, cette femme inspirait la crainte. Pourtant, sa voix était dénuée de méchanceté. De colère, d'agressivité. Quel étrange paradoxe. Elle n'était certainement pas de celles avec qui ont plaisante. La sueur coula le long du dos d' Alice, elle se savait en danger.

Voyant son trouble, la jeune femme arrêta son discourt. Son étrange regard se teinta d'une lueur. Était ce de la tristesse ? Quoi qu'il en soit, elle tendit une main vers Alice. Qui ne la saisie pas. Tombant à la renverse, elle recula prestement, s'éloignant à grand pas de l'inconnue. Apeurée.

Qu'es … qu'es t' il arrivé à votre visage ?!

La jeune femme se rétracta sur elle même. Son regard se tordit de douleur. Pas de doute, c'était de la tristesse. Celle ci était tellement importante qu'elle se ressentait dans l'air. Imprégnant Alice d'une sentiment de malaise. La faisant immédiatement regretter d'avoir ainsi rejeté la jeune femme. Se retournant encore une fois, l’inconnue reposa la capuche sur le haut de sa tête.

Il a été brûlé par l’incendie qui a prit la vie de notre père.

Orm

Je me nomme Brown. Amy Brown.  176222orm4
NOM RÉEL : Amy Brown
OCCUPATION : étudiante

VILLE ACTUELLE : New York



Je me nomme Brown. Amy Brown.  Empty
Orm

★ Admin troll ★


Je me nomme Brown. Amy Brown.  Empty

Je me nomme Brown. Amy Brown.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Amy Brown - Va-y Monseigneur, bouffe lui un mollet !

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
INSOMNIA. :: ADMINISTRATION :: Rp fun-