Dans ma famille, surtout chez les DeVonck (côté père) , nous sommes tous scientifique. Que ce soit coté paternel que coté maternel, d'ailleurs. Mon père, Peter DeVonck est biologiste, ma mère, Emma du même nom est paléoanthropologue quand à mon oncle, (le frère de maman), Benjamin, lui est sociologue. J'ai un grand-frère de bientôt vingt ans. Il s'appelle Zach est il étudie la branche DAEU B à l'université (c'est la branche scientifique). Quand à moi, Mélissa DeVonck, seize ans, étudie la branche science-math au lycée. Oui, c'est moi la cadette de la famille. Nous vivons à Rueil Malmaison, une région dans l'île de France. En fait, Zach et moi on a deux maisons, en quelque sorte. Nos grands-parents vivent à Saint-Cloud et c'est là où nous hébergeons souvent, quand ils doivent partir en « mission. » Heureusement, ils n'acceptent les missions d'une semaine maximum, pour ne pas perdre contact avec nous. Quelque fois, j'aimerai les voir plus souvent, mais vu qu'avec leur travail, ils gagent beaucoup, quand on est réunis en famille, on fait souvent de superbes choses ensemble ! Mais là, ce fût différent. Un certain Gerland de la Commission Européenne avait une mission très urgente. L'Humanité était en danger et papa, maman et oncle Ben devaient aller les aider. Plus de détails ? Ils n'en ont pas eu. D'un côté, ils n'ont même pas eu le droit de refusé. C'était leur carrière qui était en jeu. Puis, les adultes sont un peu trop curieux. On vous donne une sorte de mission secrète et nous voilà partit au bout du monde. La seule chose que l'on savait, c'est que papa et Ben partaient pour le Pic du Midi, dans l'observatoire afin de mettre main sur des dossiers important, quand à maman, elle partait pour les îles paradisiaques; Fatu Hiva. Pourquoi là-bas ? Il y avait quelque chose de très intéressant, d'après Monsieur Gerland. Quelque chose qui avait lien avec l'observatoire. Pourtant, il y avait comme même des heures, même un jour de décalage. Mais c'était pour l'humanité. Donc, Zach et moi furent envoyer chez nos grands-parents. Nous y étions habitués, ce n'était pas ça le problème. La seule chose qui nous dérangeaient tous, c'est que l'on ne savait ni pourquoi, ni pour combien de temps ils devaient partir. Mais tant pis.

C'est là, que l'aventure commence...